La maladresse en architecture à l’aune du « je-ne-sais-quoi »

Les aventures plastiques du XXe siècle ont appris à apprécier la valeur de la maladresse : elle peut ouvrir à la création des portes inattendues, insoupçonnées, et renouveler la réflexion. Mais qu’en est-il en architecture, puisqu’après tout, il s’agit bien d’un art ?

Ce n’est pas si simple, comme le découvre Jean-Jacques Treuttel, que la question taraude. Entre moues dubitatives et soutien ponctuel de ses confrères architectes, il sillonne durant trois ans Paris à vélo, observe, analyse, tente d’établir des critères, sans être certain d’y parvenir. Il parvient en tout cas à mettre la réflexion du lecteur en mouvement, qui se surprend à élaborer ses propres critères. Il parvient également à composer le premier traité d’architecture qui fasse rire, et dont la profondeur se révèle peu à peu.

Le texte est illustré de photos et accompagné par des dessins de Luc Guinguet.

Vous pouvez acheter cet ouvrage seul, ou groupé avec un autre titre, l’Inconcevable, avec des frais postaux réduits (2 euros pour les deux).

Format : 110 x 170 mm, 96 pages, illustrations et photos en N & B, 15 euros TTC

plusieurs choix